Gims aurait formulé des demandes excessives pour accompagner Emmanuel Macron lors de son récent voyage en République démocratique du Congo, incluant un jet privé et une rémunération de plus de 100 000 euros, selon des informations rapportées par le journal Le Monde.
Gims au cœur d’une nouvelle polémique
Le rappeur de la Sexion D’Assaut a réagi rapidement sur ses réseaux sociaux pour donner sa version des faits, qui contredit les accusations portées contre lui, suite à ce nouveau scandale.
Le mois dernier, lors d’une interview, Meugui a expliqué son choix de ne pas accepter l’invitation de Macron en République démocratique du Congo. Il a révélé que la demande avait été faite par Brigitte Macron, mais qu’il n’avait pas jugé cela judicieux. Il a également déclaré que les revendications des Congolais étaient légitimes et qu’ils n’inventaient pas d’histoires.
Une nouvelle révélation a émergé dans cette affaire suite à la publication d’un article dans Le Monde, affirmant que le chanteur aurait refusé de participer gratuitement à l’événement organisé à Kinshasa.
Selon des sources à l’Élysée citées par Le Monde, Warano aurait formulé des exigences importantes telles que la mise à disposition d’un jet privé depuis l’Arabie Saoudite où il se trouvait à ce moment-là pour se rendre en République démocratique du Congo, ainsi que le versement de 100 000 euros pour garantir sa participation à l’événement.
Gims exige un jet privé et plus de 100 000 euros
D’après l’Élysée, contrairement à Meugiwarano, les autres artistes invités tels que Fally Ipupa n’ont pas formulé de demandes particulières.
Selon Le Monde, Gims aurait été le seul à poser des conditions financières et à réclamer un traitement spécifique. Toutefois, ces demandes n’ont pas été satisfaites en raison de leur incompatibilité avec les critères de l’Élysée.
Gims s’est retrouvé confronté à des critiques après la publication d’un article dans Le Monde affirmant qu’il avait posé des exigences importantes pour participer à un événement organisé à Kinshasa avec Emmanuel Macron.
Cependant, Gims a rapidement réagi sur Twitter, affirmant qu’il n’avait jamais posé de telles conditions et qu’il n’était pas impliqué dans les négociations avec l’Elysée pour sa participation à l’événement. Cette version des faits est donc très différente de celle présentée par l’article du Monde.
En somme, cette affaire suscite de nombreuses réactions et critiques. Si Gims nie les accusations qui lui sont portées, l’article du Monde met en lumière une vision différente de l’histoire.
Le comportement de l’artiste envers les organisateurs de l’événement et les autorités congolaises a été remis en question, tandis que les autres artistes présents ont été salués pour leur attitude.
Quoi qu’il en soit, cette polémique rappelle l’importance de l’éthique et de la responsabilité dans les milieux artistiques et politiques, surtout lorsqu’il s’agit d’événements qui visent à promouvoir des causes justes et importantes.