La papesse de l’influence en France, Magali Berdah n’est pas épargnée depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux. En cause, une phrase dans le reportage « Complément d’enquête » sur France 2. En effet, elle avait expliqué au journaliste qu’elle ne portait pas la montre pour laquelle elle avait fait un placement de produit à cause d’une tendinite au bras.

Magali Berdah a une tendinite au bras

France 2 a diffusé dimanche soir le « Complément d’enquête » sur le business des influenceurs. La vidéo de Magali est devenue virale sur les réseaux sociaux et a été republiée par plusieurs marques. Le journaliste Tristan Waleckx l’avait interrogé sur l’un de ses placements produits, une montre connectée soi-disant pas chère qu’on peut retrouver sur d’autres sites à des prix bien plus abordables. Le journaliste lui a alors demandé si elle avait réellement porté cette montre. Réponse de Magali : « Oui, je l’ai déjà portée, la montre connectée, je l’ai déjà portée. Bien sûr, j’ai une tendinite au bras ! ».

Magali Berdah a tenté de s’expliquer face au média Brut : « J’ai plusieurs montres. Des fois, je mets l’une. Des fois, je mets l’autre. Chacun est libre de faire ce qu’il veut. J’ai voulu dire, j’ai une tendinite au bras et le fait de porter une montre connectée, ça m’aide. Les gens ont compris, elle ne met pas la montre parce qu’elle a une tendinite, alors que ce n’était pas ça. Je voulais dire que les montres connectées aident les gens qui ont des tendinites à ne pas avoir le téléphone en main tout le temps, alors pardon si je n’ai pas été très claire ».

Pas ça, Madame Berdah, pas aujourd’hui, pas maintenant, pas après tout ce que vous avez fait, et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d’alu !

Booba termine Magali Berdah sur sa tendinite au bras

Forcément, Booba s’est réjoui de ce passage. Le rappeur a retweeté plusieurs posts de plusieurs marques qui reprennent l’expression « J’ai une tendinite ». Pour aller plus loin, il s’est filmé avec plusieurs montres de luxe au poignet et déclare avec un accent anglais : « Aïe docteur Glandu, je dois me soigner, j’ai mal au poignet. J’ai une tendinite, je ne peux pas aller travailler. Je suis assisté, je vais toucher les indemnités ». En référence à la récente polémique de l’avocate de Magali Bardah, Sarah Saldmann qui a qualifié les gens en arrêt de travail de « glandus », « d’assistés », ou encore de « feignasses » sur le plateau de BFM.

À lire aussi :  La F règle ses comptes avec Gazo et le clash