Suite à la non-concrétisation du combat de Tovaritch VS Médé World à 200 000 euros, le dernier clip du rappeur d’origine russe fait le buzz sur les réseaux sociaux. En effet, l’artiste s’est attiré les foudres de la communauté LGBT+ suite à des propos homophobes dans un morceau et semble s’amuser de la polémique.
Tovarich réagit et s’amuse de la polémique
Yuri Mikhailov est de retour avec un nouveau clip intitulé « 2CB » après la sortie de son album « Mikhailov » au mois de février, ce dernier a fait beaucoup de bruit sur les réseaux sociaux, et pour cause, le rappeur a mis en ligne un clip dans lequel il est mis en scène dans le parc de Bercy lors d’une séance de street workout avec des paroles homophobes qui ne passent pas au sein des associations LGBT+.
« Ce n’est pas le marais ici, non ce n’est pas la gay pride, je n’aime pas les hommes qui su*ent des hommes, et qui volent le travail des femmes ». Le profil « Le coin des LGBT+ » a directement dénoncé les propos du rappeur et l’accuse d’être sexiste et homophobe.
Le clip comptabilise déjà plus de 1,5 million de vues sur YouTube, a souligné le compte « Le Coin des LGBT+ » avant d’ajouter « La réaction de Tovaritch quand on lui fait remarquer que son nouveau clip est homophobe et misogyne » et « Quand il fera sa vidéo en train de sangloter pour ne pas être déprogrammé, en affirmant qu’il n’est pas du tout homophobe, on pourra aussi lui sortir cette story où il nous traite de LGPD ! ».
L’ultime provocation de Tovaritch
« Chacun est libre d’enc*ler qui il veut. Calmez-vous, je ne vous veux aucun mal. Je dis ce que je pense, liberté d’expression », s’est-il défendu, « Les LGPD nous attaquent, merci pour le buzz. Suivez-moi, vous allez voir dans mes stories, il n’y a que des mecs balaises, vous allez pouvoir vous bran*er ».
Waly Dia a d’ailleurs réagi suite au scandale en postant un extrait du clip avec des paroles modifiées par « Vas-y s*ce ton pote ». L’ultime provocation du rappeur a été de se filmer allant dans une boulangerie pour acheter une pâtisserie avant de se rendre dans les locaux parisiens de l’association LGBT+ pour leur offrir ce gâteau.
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