Laylow a été arrêté dernièrement au volant de sa voiture pour excès de vitesse. L’artiste a dû effectuer plusieurs dépistages, qui se sont tous avérés négatifs, sauf un, celui de la cocaïne.

Booba prend la défense de Laylow

Le jeune homme a été mis en garde à vue avant d’être relâché quelques heures après la sortie des résultats des analyses sanguines qui se sont avérés négatifs.

L’histoire devait s’arrêter là, pourtant, celle-ci a pris une tout autre tournure. Le JDD s’est empressé de relayer l’information sans s’assurer de sa fiabilité. Très vite, la fake news liée à la supposée consommation de cocaïne a été relayée dans la presse française.

Cette fausse nouvelle a rapidement fait le tour de la toile et Laylow s’est senti obligé de se justifier. C’est dans une Story Instagram qu’il décide de prendre la parole afin de démentir les faits :

«Hier soir, j’ai fait un excès de vitesse et il y a eu un test antidrogue qui a beugué. Mais il n’y a pas de souci, j’ai été remis en liberté, j’ai ma voiture, mon permis. J’ai juste perdu trois points. Il n’y a pas de drogue du tout dans l’histoire ».

Booba a aussi relayé l’affaire sur son compte Twitter, affichant ainsi son soutien au rappeur de Toulouse. Il publie des captures d’écrans d’un article de FranceInfo qui parle de cette affaire, avec en légende :

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« Ça tire toujours sur les rappeurs avec des conclusions hâtives alors que les vrais démons sont en liberté ! ».

Laylow dément l’information : « on ne va rien laisser passer »

Malgré la vive réaction de Laylow pour démentir la fausse information et calmer les esprits, la rumeur avait déjà pris beaucoup d’ampleur. Il décide donc de pousser un coup de gueule sur Instagram contre toutes ses fausses accusations :

« Vous me faites serrer avec vos doutes de merde, moi-même, je ne sais pas ce qui a fait qu’un premier test soit déclaré positif, les policiers eux-mêmes disent que ça peut être un médicament que je prends pour les inflammations ou même tout simplement un test défaillant ! ».

« Moi, je savais pertinemment que ce n’était pas possible, j’étais prêt à faire tous les tests nécessaires pour prouver que je ne consommais aucune drogue. Tu es dans un commissariat, tu sais que tu n’as rien fait et les gens te jugent comme un drogué, c’est désagréable de ouf. On ne veut pas se victimiser, c’est une erreur de la police, ça peut arriver ».

Il s’en prend ensuite aux différents médias qui ont relayé l’information et menace de les poursuivre en justice :

« Par contre ceux qui ont communiqué l’info à des médias sans attendre le deuxième test (et en sachant que je répétais que je n’avais rien consommé) c’est grave, du coup, vous faites des articles, vous ne les supprimez pas et vous laissez penser des choses. Moi, je fais une vidéo calme pour rassurer les gens, mais vous doutez. Ça y est, on va faire les poursuites judiciaires et on ne va rien laisser passer ! ».