Salt Bae a partagé récemment avec ses 49 millions d’abonnés une note plus que salée assortie d’un commentaire provocateur : « la qualité n’est jamais chère ».
Salt Bae : chef préféré des footballeurs
Salt Bae pour « sel » et « chéri » en anglais est boucher depuis l’âge de 14 ans et possède désormais 23 restaurants de viande à travers le monde. Il est devenu célèbre en 2017 grâce à une vidéo virale sur les réseaux sociaux.
Sa spécialité ? Sa manière de trancher le bœuf avec une précision de samouraï, une chorégraphie presque sensuelle. Il est reconnaissable aujourd’hui à sa façon de saupoudrer le sel en fléchissant son coude tout en roulant son poignet. Sa pose est reprise aux quatre coins du monde par de nombreux internautes et stars diverses.
Franck Ribéry avait d’ailleurs fait polémique en 2019 en mangeant chez lui une entrecôte recouverte d’or. L’animatrice Audrey Pulvar avait tweeté face à l’indécence du prix : « Si vous ne savez pas quoi faire de votre argent, il reste plein de causes à fiancer et à soutenir, dans le monde ». Ce à quoi Franck a répondu qu’il faisait ce qu’il voulait de son argent et qu’il avait remarqué une absence de réaction médiatique lors de ses dons à des œuvres caritatives.
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Salt Bae fait le buzz avec une addition salée
Le restaurateur et ancien boucher turc est un habitué des polémiques. Entre ses notes salées et ses pièces de viande recouvertes inutilement de feuilles d’or, il a réussi à construire un empire avec ses extravagances.
Sa polémique la plus récente est celle d’une addition colossale qu’il a facturée dans son restaurant aux Émirats arabes unis.
La facture du dîner en question s’élevait à plus de 615 065 AED, soit environ 162 541 euros. La rumeur court que ce seraient des pilotes de Formules 1 présents dans la capitale. Il s’avère qu’ils auraient choisi de dîner dans un restaurant étoilé de la ville. L’identité des quatorze convives n’est donc toujours pas connue, mais l’addition, oui !
Côté nourriture, ces derniers ont commandé des carpaccios à 315 € et une variété de viandes rouges enrobées de feuilles d’or à 4 980 €, suivis d’accompagnements : fleurs d’oignons à 84 € ou des frites à 47 €. En dessert, 11 loukoums à plus de 1000 € et 15 baklavas à 1 535 €.
L’eau reste l’une des dépenses les plus raisonnables, contrairement aux cocktails qui ont permis de faire grimper l’addition. Le prix du vin est aussi exorbitant avec sept bouteilles de Petrus, dont deux à 26 000 € pièce et une bouteille de Château Margaux, pour un total d’environ 162 541 €.
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